Séchoir écologique du Marais Girard

Le séchoir

Construit entre la fin du XIXᵉ et les années 1950–60, le séchoir à tabac était un bâtiment essentiel des exploitations agricoles locales. Il avait pour vocation de faire sécher des plants de tabac « brun » ou « Burley » à l’air libre, avant effeuillage et expédition à l’administration centrale. À Brétignolles-sur-Mer, la culture du tabac a connu un réel essor après la Seconde Guerre mondiale. Dès 1946, plus de 120 cultivateurs s’investissaient dans cette production sur la commune, marquant une petite prospérité locale.

Le séchoir du Marais Girard reprend les principes traditionnels des séchoirs à tabac. Le bâtiment est composé d’une ossature bois qui repose sur un soubassement maçonné.
Bien exposés au soleil et au vent, les murs sont dit “à claire-voie” : ils ne sont pas porteurs et sont composés des anciennes tuiles de la ferme. Les murs ajourés permettent la circulation naturelle de l’air dans le bâtiment : ce sont les conditions idéales pour sécher le linge rapidement.

Principes de construction

Le séchoir du Marais Girard reprend les principes traditionnels des séchoirs à tabac de Brétignolles sur mer.

Le bâtiment est composé d’une ossature bois qui repose sur un soubassement maçonné.

Bien exposés au soleil et au vent, les murs sont dit “à claire-voie” : ils ne sont pas porteurs et sont composés des anciennes tuiles de la ferme. Les murs ajourés permettent la circulation naturelle de l’air dans le bâtiment : ce sont les conditions idéales pour sécher le linge rapidement.

Le séchoir naturel à claire-voie